Google+ Vie d'Une Algérienne

17.3.17

Tha feniante et l'organisation

Source

Comment dire?
 L'organisation dans le dictionnaire ça donne ça.
Sauf que pour moi, c'est plutôt ça:
Source
Oui, je suis plutôt désordonnée.
Mais vraiment.
Je pense que vu mon dernier post Retard mon amour, on peut s'en douter ^^
J'essaie d'être organisée, je fais des efforts, mais à part une légère amélioration (vraiment légère) amélioration, RAS!
C'est peut-être moins pire qu'avant mais bon, je suis loin du genre "je fais mes devoirs la semaine précédente pour pas être débordée la veille".
Moi c'est plus "Oh, j'ai un truc pour Mardi prochain! On est Vendredi! Ça va j'ai le tiiiime!"
Hahaha.
Bah je me retrouve à le faire le Mardi à 00h/01h du mat', en mode panique et "vite ponds quelque chose à rendre!".
C'est n'importe quoi et pas responsable.
Je le sais! C'est ce que je me dis à chaque fois, mais je recommence!
Maintenant de moins en moins parceque je me force à ne pas travailler à la dernière minute, mais même l'an dernier où je suivais un cursus "difficile", je ne me suis pas autant mis une pression pour m'améliorer...
C'est triste :(

Mais c'est aussi lié à la motivation tout ça.
Je suis du genre a travailler, réfléchir seulement si je suis motivée!
Certaines personnes arrivent à se motiver globalement genre "je veux obtenir ça, du coup je fais en sorte d'être motivé pour tous les trucs avant".
Moi pas du tout;
Si j'ai pas un quelconque intérêt pour ce que je dois faire, je traîne des pieds!
Par contre, pour tout ce qui mm'intéresse plus, je suis davantage rapide!
Alors avec un peu de chance, je ferai un travail où j'aimerais tout, et du coup, je serai pas en train de me noyer sous mes tâches!
Et je me ferai pas virer au bout de 2 jours :P

En me créant un to-do list, je vous salue!

25.2.17

Retard mon amour


Moi et les retards, la plus grande histoire d'amour au monde!
Eh oui, je fais partie des  gens qui comptent le nombre de fois où ils ont été ponctuels sur les doigts de la main et pas le nombre de fois où ils on été en retard..

J'y peux rien, c'est génétique je crois. Mon père est toujours en retard, il est du genre à te dire "Oui je suis en chemin là, j'arrive dans 5 minutes!" alors qu'il est encore à la maison, pas habillé...
Bon, je fais pas ça, mais je suis pas loin, et je sais que ce n'est pas bien, mais c'est plus fort, mon cerveau ou je ne sais pas ce qui ce qui cause mes actes, fait en sorte que même si je me prépare 3h en avance, je finis par arriver en retard!
Et je cours pour tout: prendre ma douche, m'habiller, derrière le bus, le train.

Du coup, je passe toujours pour la fille perchée, ce qui est le cas en fait!
Alors mes amis ont développé une technique, ils me donnent RDV une heure en avance pour que j'arrive à l'heure (enfin en retard) au fameux RDV (et eux, ils se pointent à la vraie heure).
J'sais pas si c'est très clair mais imaginons que j'ai RDV à 14h, en fait c'est 15h. Et on arrive tous à 15h, moi avec mon heure de retard ^^
Mais ce qui me tracasse le plus, c'est que j'ai essayé d'arranger ça, avec une appli, histoire de me fixer un objectif.
Ces applis n'ont aucun effet sur moi et mes résolutions. Je checkais même plus l'objectif, sur 2 moi, j'ai été comme d'habitude plus en retard qu'à l'heure, et j'ai dû coché 5 fois maximum "Objectif rempli" quand j'arrivais à l'heure!
Bref, l'effort est vain.


En plus, je me dis que lorsque je commencerai à travailler, je devrai travailler sur moi à un point incommensurable (j'aime bien utiliser des mots comme ça, ça me fait penser à Fellag dans Un bateau pour l'Australie). Ou alors je me ferai virer tout le temps puisque je serai en retard.

En espérant que j'arrive à l'heure, la bise!

14.2.17

Vie étudiante #2

Source

Désillusion n°4
La liberté financière!
Je pensais qu'en quittant le domicile familial, je serais libre de mes achats.
Y a toujours une frustration énorme quand ton père ou ta mère te dis: "Non. Je te l’achèterai pas!".
Du coup, je pensais qu'en étant "adulte" je dépenserais, dépenserais, me ferais plaisir comme en vengeance à tous ces "Non".
Et que je pourrais dépenser mon argent comme DiCaprio dans Wolf of Wall Street.
Dégainer un style à la Victoria Beckham, faire des jaloux, bref montrer de la richesse là où il n'y en a pas (ouais c'est bof, mais bon, nouveau départ, nouveau style qui en jette, c'est classique).

Déjà, la Désillusion n°3 m'a calmée direct et l'appel des parents à propos de ma crise financière, ça a exterminé mes ardeurs d'élévation superficielle!
Les seuls nouveaux habits que je me suis offert, c'était des habits en soldes.
Comme toujours.
Pas de changement, et c'est pas plus mal.


Désillusion n°5
La solitude.
En plus d'inviter personne chez moi parceque c'est pas trop mon genre, niveau vie sociale, c'était pas trop la folie à la rentrée..
En gros, je traînais avec deux filles, qui ne suivaient même pas la même formation que moi.
Solitude: 1.
Chez moi, c'est vide, rien à faire. Pas de déco. Mais au moins j'ai un toit!
Solitude: 2. Reconnaissance: 1.
Je comprenais pas, je voulais être stylée, hype, comme si le fait d'être seule entraînait le fait que je devienne aussi populaire que Selena dans Gossip Girl.

Ou plutôt comme si ma solitude nouvelle devait être compensée par une popularité..
J'ai vite abandonné cette quête à la popularité et j'ai laissé la vie faire le reste.
Aujourd'hui j'ai des potes, c'est cool non?
(J'te fais pitié? C'est pas grave moi aussi!)


Désillusion n°6
Les études
Tu vois la working girl, à la Victoria Beckham, qui a toujours du style, un emploi du temps monstre, qui est toujours busy?
Je voulais être comme ça: une nana qui passe sont temps à travailler, qui a des résultats de première de classe, qui prend son pied dans son travail, tout en dégainant un style à faire des jalouses.
Déjà, les Désillusion n°3 et Désillusion n°4 m'ont encore une fois fait changer d'avis.
Puis les cours m'ont achevée. Non vraiment!
Disons que initialement j'avais des journées de cours, au début assez soft, puis c'est devenu n'importe quoi.
J'avais cours toute la journée, je rentrais crevée, je cuisinais un plat de pâte à la one again on stock. Niveau culinaire, c'était zéro.
Le style que j'avais était un jour sur deux celui de Big Mama. En n'oubliant pas les cernes.
Le pire: je détestais les matières..
Et la plupart des profs (un prof beauf comme tu peux pas t'imaginer, une prof qui fait semblant d'avoir de l'autorité, et je passe le reste sous silence).
J'étais tout sauf la fille qui s'éclatait dans sa nouvelle vie.


Toutes ces désillusions, m'ont un peu (beaucoup) déprimée, mais il faut dire qu'avec l'habitude et en me rendant compte de la chance que j'avais à pouvoir vivre cette expérience, j'y ai pris goût!
Et découvrir de nouvelles personnes m'a aussi aidé à apprécier davantage cela :)

Je remercie ma famille, mes potes et la vie de m'avoir permit cette expérience dans des conditions plus que potables!
Expérimentalement votre!